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Occitanie  Val de Gascogne renforce son offre en maraîchage

Jean-Luc Cantaloup, nouveau référent maraîchage de la coopérative, depuis janvier dernier, a la responsabilité du déploiement de cette nouvelle offre.  Jean-Luc Cantaloup, nouveau référent maraîchage de la coopérative, depuis janvier dernier, a la responsabilité du déploiement de cette nouvelle offre.
Jean-Luc Cantaloup, nouveau référent maraîchage de la coopérative, depuis janvier dernier, a la responsabilité du déploiement de cette nouvelle offre. Jean-Luc Cantaloup, nouveau référent maraîchage de la coopérative, depuis janvier dernier, a la responsabilité du déploiement de cette nouvelle offre.

La coopérative gersoise a annoncé mi-mars sa volonté d'étoffer son offre commerciale et de développer son expertise technique en matière de cultures maraîchères et de porte-graines.

On le sait peut-être peu, mais la Lomagne (Tarn-et-Garonne), le Lectourois (Gers) et le Néracais (Lot-et-Garonne) sont des régions propices à la culture des semences potagères, dont on retrouve des traces depuis l'Antiquité. 4 000 ha de porte-graines y sont aujourd'hui cultivés, sous contrat avec des semenciers internationaux. Jean-Luc Cantaloup, nouveau référent maraîchage de la coopérative, depuis janvier dernier, les a rencontrés. Objectif : connaître les attentes de ces donneurs d'ordres et proposer aux agriculteurs maraîchers les produits et services adéquats.Une nouvelle gamme« Nous construisons actuellement une nouvelle offre commerciale, confie le référent. Val de Gascogne propo­se déjà une gamme étoffée de produits destinés à la viticulture, or les trois quarts sont les mêmes pour le maraîchage. Il nous reste à ajouter des références plus spécifiques que nous sommes en train de référencer. »La gamme concernera aussi bien les cultures maraîchères en plein champ d'ail, d'oignon, de melon, de pomme de terre, et de fraise… que les porte-graines (betterave, coriandre, carotte, oignon, poireau, navet, persil…).Des produits et des formationsLa coop proposera des références spécifiques comme les plastiques et les agrotextiles, des fertilisants organiques et minéraux, des produits de biocontrôle, des biostimulants… « Nous travaillons aussi avec nos collè­gues en charge des productions bio pour développer ce secteur de production, ajoute Jean-Luc Cantaloup. Et nous mettons en place une offre de formations. Nous allons commencer par la plasticulture, puis suivra la culture de l'ail et du melon, une des spécialités de notre secteur géographique. »

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