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Négoce Jean-Michel Soufflet reçoit l'insigne de chevalier de la Légion d'honneur

Jean-Michel Soufflet, à gauche, vient de recevoir des mains de Michel Pébereau, président d'honneur de BNP Paribas, l'insigne de chevalier de la Légion d'honneur. © H. LAURANDEL Jean-Michel Soufflet, à gauche, vient de recevoir des mains de Michel Pébereau, président d'honneur de BNP Paribas, l'insigne de chevalier de la Légion d'honneur. © H. LAURANDEL
Jean-Michel Soufflet, à gauche, vient de recevoir des mains de Michel Pébereau, président d'honneur de BNP Paribas, l'insigne de chevalier de la Légion d'honneur. © H. LAURANDEL Jean-Michel Soufflet, à gauche, vient de recevoir des mains de Michel Pébereau, président d'honneur de BNP Paribas, l'insigne de chevalier de la Légion d'honneur. © H. LAURANDEL

Mardi soir 19 janvier, à Paris, c'est une cérémonie pas comme les autres qui a porté le groupe Soufflet sur le devant de l'actualité, avec la nomination au titre de chevalier de la Légion d'honneur du président de son directoire.

« Jean-Michel Soufflet, au nom du président de la République, nous vous faisons chevalier de la Légion d'honneur. » Près de 350 personnes ont entendu ces mots prononcés par Michel Pébereau, mardi 19 janvier aux Pavillons des Etangs, à Paris, lors de la remise de l'insigne de chevalier de la Légion d'honneur à Jean-Michel Soufflet, 58 ans, pour ses « 33 ans de services », comme il est spécifié dans le décret officiel du 13 juillet 2015. Cette reconnaissance lui a été attribuée en tant que président du directoire du groupe Soufflet, à la demande d'Emmanuel Macron, ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique.« Merci pour vos conseils »Michel Pébereau, grand officier de la Légion d'honneur et président d'honneur de BNP Paribas, banque qui accompagne le groupe Soufflet depuis de nombreuses années (du temps de la BNCI, devenue la BNP en 1966), a été choisi comme parrain par Jean-Michel Soufflet pour cette cérémonie.S'adressant à son parrain, il confie à l'assemblée : « Alors que j'avais pris depuis peu de temps la présidence du directoire du groupe, vous m'avez dit « monsieur Soufflet, c'est bien, vous avez un beau compte de résultat (... ce qui est encourageant en soi...), mais à l'avenir, ce qui comptera ce sera votre bilan ». Je dois dire que ce message m'a aidé à comprendre la nécessité de mettre en place une orthodoxie financière dans le groupe à laquelle nous n'étions que peu habitués par le passé. Cette prise de conscience nous a permis de préparer notre avenir. Je vous dis donc aujourd'hui : merci Michel pour vos conseils ! »Depuis 1981, dans le négoce familialAprès avoir dédié cette reconnaissance officielle à son père, Michel Soufflet, et à tous les membres et salariés du groupe, Jean-Michel Soufflet, qui a rejoint en 1981 l'entreprise familiale créée par les grands-parents de son père, a tenu à souligner que « le groupe est loin d'avoir donné le meilleur de lui-même, et qu'il lui reste à exprimer tout son potentiel en étant à la fois plus agile, plus innovant dans un environnement de plus en plus concurrentiel et en pleine mutation ».Le petit négoce familial, né en 1900, est devenu plus d'un siècle après, un groupe agroalimentaire réalisant près de 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires consolidé et engrangeant 5,5 millions de tonnes de collecte. Et à entendre les propos de son président, il n'a pas fini d'évoluer.

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