Contenu réservé

Midi-Pyrénées Vivadour soutient plus que jamais ses adhérents

Vivadour accompagne toujours ses adhérents dans le cadre de son plan Eaux Vives, visant la création de retenues collinaires : « Nous visons un objectif de trente lacs supplémentaires dans l'année », a indiqué Christophe Terrain, le président de Vivadour. Vivadour accompagne toujours ses adhérents dans le cadre de son plan Eaux Vives, visant la création de retenues collinaires : « Nous visons un objectif de trente lacs supplémentaires dans l'année », a indiqué Christophe Terrain, le président de
Vivadour accompagne toujours ses adhérents dans le cadre de son plan Eaux Vives, visant la création de retenues collinaires : « Nous visons un objectif de trente lacs supplémentaires dans l'année », a indiqué Christophe Terrain, le président de Vivadour. Vivadour accompagne toujours ses adhérents dans le cadre de son plan Eaux Vives, visant la création de retenues collinaires : « Nous visons un objectif de trente lacs supplémentaires dans l'année », a indiqué Christophe Terrain, le président de

Vivadour, qui a tenu son assemblée générale le 2 décembre à Auch (Gers), enregistre une hausse de son chiffre d'affaires à 475 millions d'euros, fort d'une collecte record. Le groupe poursuit son plan d'investissement de 50 millions d'euros sur cinq ans et aide ses adhérents à sécuriser leurs productions.

Le groupe coopératif Vivadour a réalisé une collecte record de 625 000 tonnes en 2014-2015, qui lui a permis d'enregistrer une hausse de son chiffre d'affaires de 29 millions d'euros, pour atteindre 475 millions d'euros.« Cette collecte record, sur quinze variétés différentes, est une bonne chose pour l'entreprise et les agriculteurs, a commenté Franck Clavier, le directeur général. En revanche, le marché est resté à des niveaux très bas, en particulier en maïs, avec un écart blé-maïs d'environ 30 euros. Nous constatons aussi que l'introduction du tournesol dans les assolements, pour répondre à l'obligation d'avoir trois cultures différentes, dans le cadre de la nouvelle Pac, engendre des résultats très faibles, voire dangereux pour l'équilibre des exploitations. Nous réfléchissons à la suppression du tournesol dans les rotations. »L'usine de Riscle agrandieLa production de semences a participé aux bons résultats du groupe qui a récolté un programme record de 4 000 hectares avec de bons résultats techniques, dans le cadre de son accord Millénium avec Dupont Pioneer. Cette année, les mises en place sont réduites de 20 % (3 200 hectares), pour réguler l'offre, le niveau des stocks de semences de maïs étant actuellement élevé. Par ailleurs, afin d'avoir moins d'espaces de stockage à louer pour les semences, Vivadour investit 2,5 millions d'euros dans la dernière phase d'extension de son usine de Riscle (Gers), qui sera agrandie de 5 000 m².Une reprise d'entreprise en vueEn semences potagères, GSN, filiale de Vivadour, a passé un accord de développement avec la société Louis Dreyfus Commodities, spécialisée dans la vente de produits aux pays africains. Elle va également reprendre des échanges avec l'Iran. Dans le secteur des semences potagères amateur, sa filiale Gondian, n° 3 sur le marché, s'est par ailleurs positionnée pour la reprise de l'entreprise concurrente Plan (n° 2), actuellement en redressement. Le tribunal de commerce rendra sa décision fin décembre.150 demandes de lacs collinairesVivadour accompagne toujours ses adhérents dans le cadre de son plan Eaux Vives, visant la création de retenues collinaires, thème qui a fait l'objet d'une table ronde lors de l'assemblée générale. Cent cinquante dossiers de créations ou d'extensions de lacs, d'un maximum de 50 000 m3 ont été déposés, aux frais de la coopérative, et trois sont d'ores et déjà acceptés, totalisant 150 000 m3. Une bonne nouvelle avec un bémol, car ces ouvrages peuvent faire l'objet de recours six mois après leur mise en fonctionnement.« Nous visons un objectif de trente lacs supplémentaires dans l'année, a indiqué Christophe Terrain, le président de Vivadour. Pour lutter contre tout recours abusif de la part d'associations qui attaqueraient nos projets dans le seul but idéologique, nous allons créer l'association Eaux Vives qui sera chargée de les poursuivre et de demander des dommages et intérêts. »Pionniers de l'assurance climatiqueEnfin, Vivadour se positionne comme pionnier de l'assurance climatique en proposant à ses adhérents les contrats Opti-Climat 30 % moins chers que ceux des assurances traditionnelles, avec une franchise de 10 % de l'objectif de rendement, contre 25 % habituellement.« Nous avons passé un contrat avec le groupe Siaci St-Honoré pour 50 000 hectares minimum, et nos adhérents sont libres de panacher et d'assurer les parcelles qu'ils veulent selon le risque choisi, détaille Franck Clavier. Aux Etats-Unis, 98 % des terres sont assurées, au Brésil, 70 %, en France, nous sommes à 5 %, car les assurances sont chères et les franchises hautes. Il faut que ça change. »

566

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
100 %

Vous avez lu 100 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre