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Champagne-Ardenne  Vivescia inaugure un nouveau silo de 43 000 tonnes

Vivescia a investi 14 millions d'euros dans la construction d'un silo d'expédition de 43 000 tonnes, à Sommesous, pour remplacer l'ancien silo de réception situé au centre du village. Vivescia a investi 14 millions d'euros dans la construction d'un silo d'expédition de 43 000 tonnes, à Sommesous, pour remplacer l'ancien silo de réception situé au centre du village.
Vivescia a investi 14 millions d'euros dans la construction d'un silo d'expédition de 43 000 tonnes, à Sommesous, pour remplacer l'ancien silo de réception situé au centre du village. Vivescia a investi 14 millions d'euros dans la construction d'un silo d'expédition de 43 000 tonnes, à Sommesous, pour remplacer l'ancien silo de réception situé au centre du village.

Avec l'inauguration d'un nouveau silo d'expédition à Sommesous (Marne), le 2 septembre, Vivescia vient de poser la première pierre d'un nouveau modèle logistique pour la récolte.

« Nous avons aujourd'hui 260 silos sur notre zone de collecte, explique Christophe Brasset, directeur des métiers agricoles du groupe Vivescia. Ce maillage, qui a fonctionné pendant des années, n'est plus adapté au contexte actuel, car il coûte cher à faire fonctionner et à maintenir en état et aux normes (10 à 15 millions d'euros par an). De plus, les silos ne sont plus adaptés au débit de récolte toujours plus important. »La coopérative veut désormais capitaliser sur les silos d'expédition pour réduire les coûts de transport des silos de collecte vers les silos d'expédition. « Nous rémunérons les adhérents pour le transport supplémentaire qu'ils effectuent pour livrer au silo d'expédition. »D'autres silos de grande capacité à l'avenirConstruit dans une zone de production importante et centrale pour la coopérative, avec des accès aux grands axes routiers, le silo de Sommesous est équipé de seize cellules de stockage, deux fosses de réception à 250 tonnes/heure chacune, avec nettoyage des grains, d'une plate-forme extérieure, d'un magasin à engrais vrac pour 2 000 tonnes, d'un stockage d'engrais liquide et d'un magasin de produits de santé végétale et semences.D'autres silos de grande capacité seront ainsi construits à l'avenir. L'agrandissement de 25 000 tonnes de celui de Berry-au-Bac (Aisne) débuté en avril 2015, pour une mise en service à la moisson 2016, s'inscrit déjà dans cette stratégie.Les blés manquent de protéinesLe lendemain de cette inauguration, Vivescia organisait un point presse pour faire le bilan de la moisson 2015. Si la collecte des céréales et des oléoprotéagineux est en hausse de 8 % pour atteindre 3,2 millions de tonnes avec des rendements supérieurs aux prévisions de juin (88 à 90 q/ha en blé, 85 q/ha en orge d'hiver, et 35 q/ha en colza en moyenne), le taux de protéines du blé est trop bas (10,7 seulement), constituant un handicap notamment pour exporter. « Nous avons perdu 0,5 point de protéines en huit ans, alors même que les rendements moyens en blé n'ont pas augmenté », constate Christian Rousseau, président délégué en charge de l'agriculture.

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