«L’augmentation des tarifs varie d’un facteur cinq à dix par rapport aux conditions d’il y a trois ans », chiffre Simon Aimar, directeur du Négoce agricole Centre-Atlantique. De sujet secondaire, l’énergie est devenue une charge de premier plan. Selon la date de signature du contrat, certaines entreprises bénéficient d’un sursis, mais toutes se sentent concernées. Côté aides gouvernementales, le sujet est compliqué (lire p. 26), et beaucoup de coopératives et de négoces passent au travers des mailles en raison, notamment, d’un chiffre d’affaires trop élevé. Alors que faire ? Bien renégocier son contrat (p. 27), ou même s’engager sur des réductions de consommation, voire des arrêts d’activité rémunérés, comme Océalia. Ensuite, au quotidien, « chacun essaye de faire preuve d’imagination », résume Antoine Hacard, président de LCA Métiers du grain.
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