En 80 ans, les progrès zootechniques ont permis d’améliorer les performances de toutes les espèces animales : la production annuelle moyenne est passée de 2 000 à 7 000 litres de lait et par vache laitière, de 190 à 342 œufs par poule, de 12 à près de 30 porcelets sevrés par truie, et l’indice de consommation du poulet a chuté de 5 à 1,67. « Faire baisser l’indice de consommation réduit non seulement le besoin en ressources végétales, mais aussi l’impact de l’élevage sur le réchauffement climatique, sur le changement d’usage des sols, sur les potentiels d’eutrophisation et d’acidification », liste Philippe Becquet, consultant pour l’Afca-Cial. Le syndicat tenait son assemblée générale, mi-juin, au sujet de la contribution de ses adhérents, producteurs et distributeurs de prémélanges, d’aliments minéraux, d’aliments liquides et d’additifs, à la durabilité des élevages.
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L’additif, un support à travailler

Que ce soit en améliorant la digestibilité des matières premières ou en soutenant l’immunité des animaux, le champ d’application des additifs est très vaste. Encore faut-il apporter la preuve de leur impact positif.
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