Contenu réservé

Alimentation animale : la géopolitique bien présente à l’AG de la Fefac

Pedro Cordero, président de la Fefac, et Silvio Ferrari, président de l’association italienne Assalzoo, ont choisi d’organiser l’AG de la Fefac à Rome, cette année, à l’occasion des 80 ans de l’Assalzoo, un de ses membres fondateurs.
Pedro Cordero, président de la Fefac, et Silvio Ferrari, président de l’association italienne Assalzoo, ont choisi d’organiser l’AG de la Fefac à Rome, cette année, à l’occasion des 80 ans de l’Assalzoo, un de ses membres fondateurs. © Yanne Boloh

Réunis en AG à Rome, jeudi 29 mai, les fabricants européens d’aliments pour animaux se sont alarmés des incertitudes géopolitiques sur leur métier. La guerre en Ukraine, les taxes douanières américaines, les mesures européennes de rétorsion ainsi que l’application de la règlementation sur la non-déforestation importée perturbent le travail d’anticipation nécessaire des acheteurs.

Alors que les filières alimentaires espéraient être épargnées par les mesures de rétorsion européennes préparées en réponse à l’augmentation annoncée des tarifs douaniers américains, il n’en est rien : d’ici le 14 juillet, maïs américain, corn gluten feed, additifs (comme certains anticoccidiens) pourraient être taxés fortement, et le soja suivrait au 1er décembre, expliquent les experts de la Fefac, la Fédération européenne des fabricants d’aliments composés, qui tenait son assemblée générale, jeudi 29 mai, à Rome.

« Combien les importateurs seront-ils taxés demain ? »

385

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
22 %

Vous avez lu 22 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Récoltes d’été

Une moisson qui « met du baume au cœur »

2025 a plutôt bien démarré en termes de ventes d'aliments du bétail, mais l'objectif de 20 Mt sera compliqué à atteindre dès cette année. Alimentation animale

Une timide éclaircie

« Mon objectif est de pérenniser l’entreprise en développant nos volumes et notre propre gamme car je veux que LEA devienne une marque technique reconnue pour sa fiabilité tout en restant une entreprise familiale », appuie Stéphane Armetta. Le négoce à la une
Thomas Couëpel (à g.), président de la coopérative Le Gouessant, et Rémi Cristoforetti, directeur général.

Le Gouessant renoue avec la croissance

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre