Avec un rebond des volumes de 1,7 % en 2024, la nutrition animale française a soufflé un peu l’an dernier. 2025 a également plutôt bien démarré, même s’il restera compliqué d’atteindre l’objectif de 20 Mt dès cette année. Dans un contexte baissier des matières premières, les fabricants d’aliments ont toutefois du mal à répercuter l’intégralité de leurs coûts industriels, dont la progression est estimée entre 15 et 20 %. Tous ont augmenté, que ce soit l’énergie, la logistique, la maintenance, les salaires et les services dont l’informatique afin de se protéger des cyberattaques notamment. Le risque reste donc de maintenir la rentabilité des entreprises.

Dans un contexte géopolitique complexe, la production française d’aliments pour animaux redresse un peu la tête. À la recherche des leviers d’amélioration de sa productivité, la nutrition animale creuse le sillon des solutions phytogéniques et de la précision des apports. Tout en poursuivant la décarbonation du secteur.
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