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InVivo bien orienté sur tous ses métiers, excepté pour le vin

InVivo gère désormais tous les silos de Bordeaux, « ce qui est intéressant pour adresser certains marchés de niche ou des marchés à valeur ajoutée comme le Portugal », souligne Thierry Blandinières, DG d’InVivo. © J.-B. NADEAU
InVivo gère désormais tous les silos de Bordeaux, « ce qui est intéressant pour adresser certains marchés de niche ou des marchés à valeur ajoutée comme le Portugal », souligne Thierry Blandinières, DG d’InVivo. © J.-B. NADEAU

La reprise du trading, la bonne tenue de l’agriculture ainsi que la croissance « incroyable » de la jardinerie vient compenser la moindre performance du vin, a détaillé InVivo mercredi 28 septembre.

Lors d’une visioconférence, le DG d’InVivo, Thierry Blandinières, est revenu sur les performances des différents métiers du groupe, qui a terminé l’exercice 2019-2020 avec un CA de 5,1 milliards d’euros, stable par rapport à l’année précédente.

Le vin ne délivre pas les résultats attendus

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