« Ce choix de renoncer à la vente de produits phytosanitaires entre dans la vision globale d’Euralis qui se positionne comme une coopérative de services et de conseil, avec pour mission d’apporter de la valeur ajoutée sur les exploitations, explique Christian Pèes, président d’Euralis. Nous avons admis que c’est le consommateur citoyen qui dit ce qu’il veut consommer et comment le fabriquer. Il faut maintenant remonter jusqu’aux exploitations pour appliquer ces principes et changer de modèle agricole. »
Euralis a annoncé à ses adhérents, lors de son assemblée générale du 7 février, à Pau (Pyrénées-Atlantiques), qu’elle choisissait le conseil, plutôt que la vente de produits phytos.
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