Teract envisage le retour en franchise de tous ses Gamm vert

Teract comptait encore, fin 2024, 74 Gamm vert intégrés. A comparer aux 1 048 franchisés et affiliés, tous exploités par des coopératives agricoles.
Teract comptait encore, fin 2024, 74 Gamm vert intégrés. A comparer aux 1 048 franchisés et affiliés, tous exploités par des coopératives agricoles. © CEDRIC FAIMALI / GFA

La filiale grand public d’InVivo, Teract, va mettre en œuvre quatre projets pour recentrer son activité sur la jardinerie, dont le retour en franchise de l’intégralité du réseau Gamm vert d’ici fin 2026.

Teract a annoncé, vendredi 27 juin, se recentrer sur ses activités historiques de jardinerie et d’animalerie, tout en opérant une réorganisation pouvant conduire à une soixantaine de licenciements.

Contrôlé majoritairement par InVivo, Teract est aujourd’hui le leader du secteur de la jardinerie et de l’animalerie, avec ses enseignes Jardiland, Gamm vert, Delbard, Jardineries du terroir et Noé La maison des animaux. En distribution alimentaire, il détient Boulangerie Louise, Grand marché la Marnière, Frais d’ici et Bio & co.

74 Gamm vert concernés

Mais pour « consolider son modèle de croissance, renforcer ses performances et affirmer son leadership sur le marché de la jardinerie », Teract annonce mettre en œuvre quatre projets.

Ainsi, il prévoit le retour en franchise de l’intégralité du réseau Gamm vert d’ici fin 2026, « pour capitaliser sur un modèle performant et agile qui a fait ses preuves ». Teract comptait encore fin 2024 74 Gamm vert intégrés, à comparer aux 1 048 franchisés et affiliés, tous exploités par des coopératives agricoles.

59 postes potentiellement en jeu

D’ici la fin de l’année, Teract va en outre céder ses sept magasins Bio & co, tous situés en région Paca, et mettre fin à l’enseigne Noé La maison des animaux, mise en place dans 3 points de vente situés en Île-de-France et dans la Manche.

Ce recentrage va s’accompagner d’une réorganisation des fonctions supports et logistique de l’activité jardinerie/animalerie « pour mieux accompagner les enseignes dans leur développement, préserver leur compétitivité et réinvestir durablement dans les prix et dans la rénovation des magasins ». Cinquante-neuf licenciements maximum pourraient être envisagés.

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