Après une année 2022 marquée par la flambée de l’influenza aviaire et un tonnage d’aliments pour animaux en chute de plus de 6 %, 2023 est moins critique mais s’affiche encore en baisse, la reprise en volailles ne compensant pas les pertes en porcs. La violence des crises successives exige que les entreprises s’adaptent alors même que le risque de manquer de clients s’accentue. En effet, les troupeaux laitiers et porcins fondent et la filière volaille cherche de nouveaux éleveurs. Le secteur se mobilise pour faire reconnaître ses contributions à la décarbonation de l’élevage, en France comme à l’exportation, et refuse l’énoncé décarbonation égale décapitalisation.
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