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Le Snia s’engage à réduire de 20 % les GES liés à la nutrition animale

De gauche à droite, lors de la conférence de presse de rentrée du Snia, mercredi 30 août à Paris : Philippe Manry (vice-président), François Cholat (président du Snia), Aurélien Simbélie (membre du bureau) et Ludovic Michel (vice-président).
De gauche à droite, lors de la conférence de presse de rentrée du Snia, mercredi 30 août à Paris : Philippe Manry (vice-président), François Cholat (président du Snia), Aurélien Simbélie (membre du bureau) et Ludovic Michel (vice-président). ©Y. BOLOH

Lors de sa conférence de presse de rentrée, mercredi 30 août, le Snia a milité pour une décarbonation sans décapitalisation, alors que les importations croissantes de viande accentuent au contraire les émissions de gaz à effet de serre.

Si la production nationale d’aliments pour animaux continue à décroître (- 1,9 % sur le premier semestre 2023 par rapport à la même période de 2022 qui était déjà mauvaise), la consommation nationale de viande augmente. « Tout ce qui n’est pas produit en France est importé », résumait Philippe Manry, vice-président du Snia, lors de la conférence de presse de rentrée du syndicat, mercredi 30 août.

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