Delivagri lance une vague de recrutement

Delivagri, dirigée par Damien Pierre et Quentin de Chabot, vient de déménager dans des locaux plus spacieux (1 000 m²), près de la gare d’Angers (Maine-et-Loire).
Delivagri, dirigée par Damien Pierre et Quentin de Chabot, vient de déménager dans des locaux plus spacieux (1 000 m²), près de la gare d’Angers (Maine-et-Loire). © Delivagri

Basé à Angers (Maine-et-Loire), le négoce en ligne Delivagri annonce l’ouverture d’une quinzaine de postes en 2024, notamment pour se développer sur de nouveaux créneaux.

En activité depuis 2016 à Angers (Maine-et-Loire), Delivagri met en marché des matières premières agricoles. L’entreprise, qui emploie 35 salariés, a réalisé l’an dernier un chiffre d’affaires de 41 M€ correspondant à 220 090 tonnes de produits commercialisées. Fait marquant : la collecte de céréales, en place depuis 2020 seulement, a représenté 40 % de l’activité (88 000 t).

Un objectif à 300 000 t maintenu

Pour 2024, la start-up angevine maintient le cap ! Comme en 2022 et 2023, elle réaffirme son ambition d’atteindre les 300 000 t. Dans cette perspective, elle a annoncé, mardi 30 janvier, la finalisation de son déménagement dans des locaux de 1 000 m2 près de la gare d’Angers, ainsi que le lancement d’une vague de recrutement.

Au total, quinze postes sont ouverts, principalement pour étoffer les équipes commerce et logistique afin de consolider les activités existantes et développer de nouveaux marchés tels que les semences et les engrais minéraux. « Qui dit recrutement dit enjeux en termes d’accompagnement, mais aussi vis-à-vis des spécificités de notre cœur de métier : l’agriculture ! », rappelle Quentin de Chabot, codirigeant de Delivagri.

Une formation maison de cinq jours

De fait, pour que ses collaborateurs, parfois sans formation agricole et/ou sans connaissance de ce secteur, soient opérationnels sur son cœur de métier et sur ses process, Delivagri a créé sa propre formation. « Nous alimentons nous-mêmes son contenu. »

Sur cinq jours, le cursus alterne théorie (2 jours) et pratique (3 jours). En règle générale, deux sessions par an sont prévues. Pour la théorie, « nous reprenons les choses à la base : date de semis, conduite culturale, rendements moyens par culture…, et nous organisons des visites chez nos clients agriculteurs ». Immersion garantie.

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