En vingt ans, Vivadour, née en 1992 de la fusion des coops gersoises de Plaisance-du-Gers, le Houga et Masseube, a bien structuré ses filières. Le groupe a racheté quatre négociants. Sa collecte a grimpé de 200 000 t (90 % de maïs) à 570 000 t (60 % de maïs) et son CA, de 100 à 426 M€. Il est devenu une référence dans la filière semences, grâce à son alliance avec Pioneer qui repose sur la production de 3 500 ha de semences de maïs. Vivadour est aussi leader régional en volailles, avec 6 millions de têtes élevées pour Fermiers du Sud-Ouest. Son plan de développement de 25 000 m² de bâtiments label rouge et 20 000 m² en poulets standard sera terminé fin 2013. « Nous voulons aussi, dès cette année, créer un guichet unique qui s'appuiera sur l'expertise de cabinets spécialisés, pour aider les agriculteurs qui veulent créer des lacs collinaires, confie Christophe Terrain, le président. 50 000 t de collecte ont été perdues en 2012 à cause du manque d'eau. Ce combat sera décisif pour la décennie. » 400 000 € sont réservés au financement d'études de faisabilité collectives.
Contenu réservé
MIDI-PYRÉNÉES Vivadour se bat pour l'eau

En 20 ans, Vivadour a bien évolué. Aujourd'hui, elle entame une bataille pour l'eau.
194
Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
99 %
Vous avez lu 99 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)

- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue