Rappelant sa contribution à la gestion des coproduits (sons, tourteaux, drèches voire graisses animales) et les effets de ses gains de productivité sur l'environnement (1,75 kg d'aliments contre 2,3 il y a trente ans pour 1 kg de poulet), les fabricants d'aliments ne veulent pas être enterrés avec la crise du lait, le déficit européen en protéines et autres campagnes contre la consommation de viande. Pourtant, les tonnages n'incitent pas à pavoiser : - 6 % l'an passé et un début d'année 2010 assez sombre (encore - 1,9 %) avec - 5,6 % en bovins, - 3,4 % en porc, même si la volaille se reprend.
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NUTRITION ANIMALE > L'industrie tient bon
Réunie en AG au Mans, l'industrie de l'alimentation animale croit à la pérennité de ses entreprises et prend dix engagements «durables».
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