L'avenir sera placé sous le signe de l'innovation ou ne sera pas. C'était en somme le ton qui se dégageait de la quatrième journée de la fertilisation le 7 avril dernier au Stade de France. Cela tombe bien : les fabricants d'engrais semblent retrouver cette voie. D'abord, l'Unifa s'est engagée en novembre dernier dans une analyse du bilan carbone de ses membres. " J'espère que cela va déboucher sur une empreinte carbone du secteur et des produits, ainsi que sur une comparaison entre les produits européens et les produits extra-européens, à condition d'avoir une méthode universelle ", s'est enthousiasmé Gilles Poidevin, délégué général de l'organisation. Un intervenant faisait d'ailleurs remarquer qu'en Suède, 90 % des consommateurs disent qu'ils privilégieront, à prix similaires, une empreinte carbone de leur assiette plus faible.
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FERTILISATION L'industrie des engrais calcule son empreinte carbone
Accompagner la production agricole tout en réduisant l'impact environnemental, le défi est ambitieux.
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