La luzerne continue à pfofiter du régime « fourrages séchés » jusqu'à fin 2011. Au-delà, elle rejoindra le plan protéines et devra contribuer à l'agriculture durable. Elle est sur la bonne voie avec une consommation réduite d'énergie fossile liée, notamment, au développement du séchage à plat, l'usage croissant de la biomasse comme combustible (pour trois quarts des usines) et la participation à des expérimentations en cours. Ainsi, des thèmes nouveaux sont développés depuis 2009 comme la réduction de méthane par les ruminants, l'impact du préfanage sur la valeur alimentaire, la biodiversité et l'empreinte environnementale. Un nouveau programme de recherche, lancé sur 2009 avec divers partenariats dont FranceAgriMer, étudie ces thématiques. En outre, les efforts de la filière sont reconnus aussi avec l'exonération de la taxe sur le charbon à partir de 2009 et le remboursement de celle de 2008. Pour cela, elle a dû s'engager dans une convention à la réduction de la consommation d'énergie fossile.
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ENVIRONNEMENT La luzerne longue durée
Les efforts de la filière en matière de production durable sont payants.
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La chronique agro d'Icosystème
