Contenu réservé

Pourquoi l’idée d’un blé RSE coté à Chicago agace mais fait réfléchir ?

C’est la dernière sortie en date de Thierry Blandinières : valoriser une qualité de blé niveau RSE avec un premium payé sur la Bourse de Chicago.Est-ce réaliste ? Ou même souhaitable ? Entre scepticisme, incompréhension… et pourquoi pas ?

1Pas avant 2030

La proposition a fait l’effet d’une petite bombe au congrès de l’AGPB, début juin, lorsque Thierry Blandinières a émis, comme piste à travailler à l’horizon 2030, de « se mettre d’accord avec nos amis américains pour valoriser une qualité de blé niveau RSE avec un premium payé sur la Bourse de Chicago ». Selon le DG d’InVivo, on ne fera vraiment bouger les lignes à l’export que par cette démarche de différenciation au niveau des commodités, qui pèsent 80 % de la production (face aux 20 % engagés en filières).

625

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
15 %

Vous avez lu 15 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre