Contenu réservé

Lorraine EMC2 vise le milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2025

« Il ne faut pas craindre l'émergence de grands groupes coopératifs en France », lançait Philippe Mangin, le président d'EMC2, lors de l'assemblée générale. © C. URVOY « Il ne faut pas craindre l'émergence de grands groupes coopératifs en France », lançait Philippe Mangin, le président d'EMC2, lors de l'assemblée générale. © C. URVOY
« Il ne faut pas craindre l'émergence de grands groupes coopératifs en France », lançait Philippe Mangin, le président d'EMC2, lors de l'assemblée générale. © C. URVOY « Il ne faut pas craindre l'émergence de grands groupes coopératifs en France », lançait Philippe Mangin, le président d'EMC2, lors de l'assemblée générale. © C. URVOY

Lors de son assemblée générale le 12 décembre dernier à Pont-à-Mousson, la coopérative meusienne EMC2 a annoncé comme objectif d'atteindre un milliard d'euros de chiffre d'affaires dans dix ans.

Le groupe EMC2 termine l'exercice 2013-2014 avec 910 000 tonnes collectées, un chiffre d'affaires de 558 millions d'euros (- 7,3 %) et un résultat net de 5,7 millions d'euros (contre 2,8 millions d'euros en 2012-2013).Sur l'exercice en cours, le million de tonnes de collecte devrait être atteint depuis l'acquisition du négoce Loeb. Avec un chiffre d'affaires total de 443 millions d'euros (- 8 %), la coopérative dégage un résultat de 4 millions d'euros contre 3,3 millions d'euros sur l'exercice précédent.Une taille critique pour rester dans la courseAlors que les unions d'approvisionnement (Area) et de commercialisation des céréales (Cer'est) auxquelles appartient EMC2 s'élargissent en accueillant de nouvelles coopératives, les dirigeants ont lancé un appel à leurs voisins lorrains pour parvenir au milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2025. Une taille critique pour rester dans la course, au moins au niveau européen, que le groupe s'est fixé comme objectif à atteindre par croissance interne ou externe.En élevage, pour donner un coup d'accélérateur à la production de viande bovine, la coopérative a dégagé une enveloppe de 10 millions d'euros à taux zéro pour aider les adhérents à investir dans les bâtiments. 7 600 places d'engraissement sont déjà construites ou en cours. Sur le plan de la transformation, la société d'abattage Sabest, créée en partenariat avec Bigard, a pratiquement atteint son objectif au bout de deux exercices, à savoir 30 000 bovins abattus.

230

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
100 %

Vous avez lu 100 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre