Contenu réservé

Biovitis avance ses pions dans le biocontrôle

Jean-Philippe Fayol, directeur opérationnel, et Jean-Yves Berthon, président de Biovitis (à dr.), devant le site flambant neuf de Saint-Beauzire.
Jean-Philippe Fayol, directeur opérationnel, et Jean-Yves Berthon, président de Biovitis (à dr.), devant le site flambant neuf de Saint-Beauzire. ©Renaud Fourreaux

Le spécialiste de la production de microorganismes, connu pour son biostimulant phare Cérès, met en route sa deuxième usine auvergnate et s’apprête à déposer trois dossiers d’homologation en biocontrôle.

Depuis son rachat par Greentech en 2000, Biovitis a changé de visage. À l’époque, 97 % de son CA était issu de la production de flores d’affinage. Désormais, ce n’est plus que 25 %. La société cantalienne, basée à Saint-Étienne-de-Chomeil, a en effet développé des souches de microorganismes (bactéries, champignons et levures) dans les traitements des effluents, dans la cosmétique, la pharmaceutique, et aussi dans l’agronomie, qui est devenue l’activité la plus importante, avec les biostimulants.

100 000 ha de biostimulants

608

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
13 %

Vous avez lu 13 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre