Depuis son rachat par Greentech en 2000, Biovitis a changé de visage. À l’époque, 97 % de son CA était issu de la production de flores d’affinage. Désormais, ce n’est plus que 25 %. La société cantalienne, basée à Saint-Étienne-de-Chomeil, a en effet développé des souches de microorganismes (bactéries, champignons et levures) dans les traitements des effluents, dans la cosmétique, la pharmaceutique, et aussi dans l’agronomie, qui est devenue l’activité la plus importante, avec les biostimulants.
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Biovitis avance ses pions dans le biocontrôle
Le spécialiste de la production de microorganismes, connu pour son biostimulant phare Cérès, met en route sa deuxième usine auvergnate et s’apprête à déposer trois dossiers d’homologation en biocontrôle.
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