Euralis, qui a engagé en 2010 « un plan de transformation ambitieux » de son organisation, en récolte les premiers fruits. « Trois de nos quatre pôles ont enregistré des résultats très positifs, souligne Christian Pèes, le président. Nous menons deux stratégies de développement. L'une pour aider nos adhérents à développer leurs activités en mettant en oeuvre des contrats de progrès. L'autre en focalisant le développement du groupe sur des marchés porteurs en France et à l'international. » Le pôle semences a ainsi investi 4 M€ dans l'achat de 2 000 ha en Ukraine, afin de sécuriser l'approvisionnement de son usine. Il a embauché 80 commerciaux pour les pays de l'Est, ouvert un bureau en Turquie et réalise des tests en maïs et tournesol en Roumanie et en Russie. Dans le Sud-Ouest, le projet est, cette année, de semer 1 000 ha supplémentaires.
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AQUITAINE Euralis en pointe sur l'agricole, moins en alimentaire
Collecte et semences se développent, mais le groupe est plombé par une activité alimentaire coûteuse.
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