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Ambroisie  Val de Gascogne se lève pour le tournesol et les abeilles

Michaël Lafon, conseiller culture de Val de Gascogne, et Laurent Dulau, agriculteur à Plieux (Gers) et administrateur des JA du Gers, veulent alerter les agriculteurs sur les risques de l'ambroisie, afin qu'elle ne s'étende pas à tout le département. © F. JACQUEMOUD Michaël Lafon, conseiller culture de Val de Gascogne, et Laurent Dulau, agriculteur à Plieux (Gers) et administrateur des JA du Gers, veulent alerter les agriculteurs sur les risques de l'ambroisie, afin qu'elle ne s'étende pas à tou
Michaël Lafon, conseiller culture de Val de Gascogne, et Laurent Dulau, agriculteur à Plieux (Gers) et administrateur des JA du Gers, veulent alerter les agriculteurs sur les risques de l'ambroisie, afin qu'elle ne s'étende pas à tout le département. © F. JACQUEMOUD Michaël Lafon, conseiller culture de Val de Gascogne, et Laurent Dulau, agriculteur à Plieux (Gers) et administrateur des JA du Gers, veulent alerter les agriculteurs sur les risques de l'ambroisie, afin qu'elle ne s'étende pas à tou

Val de Gascogne s'est alliée au réseau Biodiversité pour les abeilles et à Jeunes agriculteurs pour alerter le monde rural sur les risques du développement invasif de l'ambroisie dans les champs de tournesol.

« En France, 60 % du miel que nous produisons est à base de colza et de tournesol, il est donc indispensable, pour la filière apicole, que les surfaces de tournesol se maintiennent, expliquait Philippe Lecompte, président du réseau Biodiversité pour les abeilles, le 6 septembre, lors d'une conférence de presse à Plieux (Gers). Or, cette production recule de 10 % par an depuis les années quatre-vingt-dix pour des raisons économiques, mais aussi parce que les champs sont de plus en plus souvent envahis par l'ambroisie, dont il est très difficile de se débarrasser. »

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