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Influenza aviaire  Biosécurité : un an après, chez Maïsadour

Jean-Louis Zwick, directeur des productions animales, de la nutrition et de l'accouvage chez Maïsadour, a pris la tête des opérations en tant que responsable biosécurité. © MAÏSADOUR Jean-Louis Zwick, directeur des productions animales, de la nutrition et de l'accouvage chez Maïsadour, a pris la tête des opérations en tant que responsable biosécurité. © MAÏSADOUR
Jean-Louis Zwick, directeur des productions animales, de la nutrition et de l'accouvage chez Maïsadour, a pris la tête des opérations en tant que responsable biosécurité. © MAÏSADOUR Jean-Louis Zwick, directeur des productions animales, de la nutrition et de l'accouvage chez Maïsadour, a pris la tête des opérations en tant que responsable biosécurité. © MAÏSADOUR

Un an après la mise en place de cent mesures de biosécurité, dans ses filières palmipèdes et volailles, à la suite de deux crises d'influenza aviaire successives, Jean-Louis Zwick, de Maïsadour, dresse un bilan et présente les nouveaux travaux.

Après deux crises d'influenza aviaire qui lui ont fait perdre 3 millions de palmipèdes et de volailles en 2015-2016, 9 millions en 2016-2017 et 50 M€ en deux ans, le groupe Maïsadour a mis en place des mesures de biosécurité portant sur toutes les activités du groupe. Jean-Louis Zwick, directeur des productions animales, de la nutrition et de l'accouvage, a pris la tête des opérations en tant que responsable biosécurité, secondé par des référents dans tous les autres métiers.Quatre niveaux de risques ont été définis (vert, orange, rouge et noir), en fonction de la typologie et de la prévalence de l'influenza. Le vétérinaire du groupe en définit le niveau le matin, d'après les informations fournies par les services de l'État, et toutes les mesures nécessaires sont prises dans la matinée, si besoin.Tout est en place à 100 %« Tout ce que nous avions présenté, il y a un an, concernant nos outils (accouvage, abattoirs, usines d'aliments…) et les transports, est en place à 100 %, confie Jean-Louis Zwick. Quant à nos mille éleveurs et gaveurs­, ils ont été formés aux points de sécurisation. C'est aussi le cas des salariés des entreprises qui entrent sur les exploitations. »

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