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Centre Vers une fusion entre Bonneval et Cabep

Dirigée par Guillaume Leclercq (en photo), la Cabep devrait fusionner avec sa voisine la coopérative de Bonneval, dirigée par Guillaume Rivet, et peser ainsi plus de 150 millions d'euros de chiffre d'affaires. © YANN CAINJO Dirigée par Guillaume Leclercq (en photo), la Cabep devrait fusionner avec sa voisine la coopérative de Bonneval, dirigée par Guillaume Rivet, et peser ainsi plus de 150 millions d'euros de chiffre d'affaires. © YANN CAINJO
Dirigée par Guillaume Leclercq (en photo), la Cabep devrait fusionner avec sa voisine la coopérative de Bonneval, dirigée par Guillaume Rivet, et peser ainsi plus de 150 millions d'euros de chiffre d'affaires. © YANN CAINJO Dirigée par Guillaume Leclercq (en photo), la Cabep devrait fusionner avec sa voisine la coopérative de Bonneval, dirigée par Guillaume Rivet, et peser ainsi plus de 150 millions d'euros de chiffre d'affaires. © YANN CAINJO

Les deux plus petites coopératives d'Eure-et-Loir, la Cabep, installée à Toury et la coopérative de Bonneval souhaiteraient se rapprocher.

La coopérative de Bonneval et la Cabep (coopérative agricole Beauce et Perche) planchent sur un projet de fusion. Elles le soumettront à leurs adhérents les 2 et 3 décembre prochains, lors des assemblées générales. Si les agriculteurs acceptent, la fusion sera rétroactive au 1er juillet 2014 et le futur siège social sera situé à Bonneval.« Tout est allé très vite, confie Guillaume Leclercq, le directeur de la Cabep en poste depuis 2009. Les conseils d'administration ont validé ce rapprochement en juin. Depuis, nous travaillons sur les modalités de fusion. »Des coopératives avec la même philosophieLa Cabep, qui collecte 145 000 tonnes de céréales avec un chiffre d'affaires de 45 millions d'euros, est deux fois plus petite que la coopérative de Bonneval. Ce rapprochement pourrait lui donner les moyens de se développer. De son côté, la coopérative de Bonneval pourrait renforcer son équipe, car plusieurs de ses cadres vont partir prochainement à la retraite.Les deux entreprises possèdent toutes les deux une philosophie très coopérative de la mise en marché, elles adhèrent aux mêmes unions : Terris pour la commercialisation et Terre de France pour l'approvisionnement. Elles sont situées sur des territoires proches et complémentaires. Si le projet est validé, la nouvelle entité pourrait collecter 440 000 tonnes de céréales auprès d'un millier d'agriculteurs, et peser plus de 150 millions d'euros de chiffre d'affaires.

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