Aquitaine  Sud-Ouest aliment séduite par l'aquaculture

Sud-Ouest aliment contrôle aujourd'hui onze sites de fabrication en Aquitaine et en Midi-Pyrénées, dont celui de Saint-Sylvestre-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Sud-Ouest aliment contrôle aujourd'hui onze sites de fabrication en Aquitaine et en Midi-Pyrénées, dont celui de Saint-Sylvestre-sur-Lot (Lot-et-Garonne).
Sud-Ouest aliment contrôle aujourd'hui onze sites de fabrication en Aquitaine et en Midi-Pyrénées, dont celui de Saint-Sylvestre-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Sud-Ouest aliment contrôle aujourd'hui onze sites de fabrication en Aquitaine et en Midi-Pyrénées, dont celui de Saint-Sylvestre-sur-Lot (Lot-et-Garonne).

Sud-Ouest aliment (Soal), la filiale alimentation animale détenue majoritairement par Maïsadour, projette de construire une usine de fabrication d'aliments pour poissons, en partenariat avec Aqualande.

Le 11 juillet dernier, un certificat de projet pour une usine de fabrication d'aliments pour poissons portée par Soal et par Aqualande, leader français de l'aquaculture, a été remis des mains du préfet des Landes. Les deux entreprises avaient en effet précédemment déposé une demande de certificat de projet auprès de la préfecture.

Une diversification d'activité comme levier de croissance

Soal est aujourd'hui à la tête de onze sites de fabrication et de 725 000 t d'aliments commercialisés. Si le premier fournisseur d'aliments pour animaux au sud de la Loire détient également 39 % de parts de marché en Aquitaine, toutes espèces confondues, la filiale de Maïsadour, Vivadour et Val de Gascogne était en recherche de leviers de croissance.

L'aquaculture française est un secteur qui croît justement d'environ 15 % par an depuis 2011. De son côté, Aqualande souhaitait encore mieux maîtriser la totalité de la filière aquacole.

Prévue pour être située dans la zone d'activité d'Arue-Roquefort (Landes), la nouvelle usine pourrait démarrer début 2016. Elle affichera à terme une capacité de 30 000 t d'aliments, « dont la production sera destinée à 65 % pour l'aquaculture d'eau douce et à 35 % pour l'aquaculture marine », précisent les deux partenaires.

La commercialisation à l'export devrait atteindre 30 %.

Renaud Fourreaux

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