Dans une optique de durabilité, de plus en plus d’entreprises, de collectivités territoriales, ou tous autres acteurs économiques français, ainsi que des citoyens cherchent à réduire leur impact environnemental et leur empreinte carbone. Soucieux de ces enjeux, certains se tournent vers la compensation volontaire de leurs émissions de GES. Selon l’Ademe, « la compensation volontaire consiste à financer un projet de réduction ou de séquestration d’émissions de GES dont on n’est pas directement responsable ». Ces acheteurs français font ainsi appel à des opérateurs spécialisés à l’international pour l’achat de crédits carbone, un crédit correspondant à une tonne de CO2 évitée. Ces projets relèvent notamment de la reforestation, comme en Amazonie, des énergies renouvelables ou encore de l’utilisation rationnelle des énergies.

Pour bon nombre d’acteurs économiques, compenser leurs émissions par l’achat de crédits carbone à l’international n’est pas nouveau. Mais une offre française se construit, conformément à leurs attentes.
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