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Nutrition animale en Bretagne : Nutrinoë déplore un début 2021 délicat

Hervé Vasseur, président de Nutrinoë, souligne que le fabricant d’aliments est toujours en première ligne quand les trésoreries se tendent en élevage.
Hervé Vasseur, président de Nutrinoë, souligne que le fabricant d’aliments est toujours en première ligne quand les trésoreries se tendent en élevage.

La fabrication bretonne d’aliments s’est maintenue l’an dernier, mais peine désormais dans un contexte de prix de matières premières élevées, même si le segment bovins poursuit sa progression. Un constat qui ressort de l’assemblée générale de Nutrinoë qui s’est tenue le 9 juillet.

Le 9 juillet, au château d’Apigné (Le Rheu, Ille-et-Vilaine), s’est tenue l’AG de Nutrinoë qui fédère les entreprises bretonnes de la nutrition animale. L’occasion de faire le point sur la situation du secteur. Avec une légère hausse de 0,2 %, le tonnage des aliments fabriqués par les adhérents de Nutrinoë reste stable dans la première région française avec 7,75 Mt. En y ajoutant les Pays de la Loire (3,73 Mt, à  0,4 %) et la Normandie (0,76 Mt, à + 1,03 %), le Grand Ouest dans son ensemble pèse 12,25 Mt, soit près de 59 % des productions nationales.

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