Arterris investit 14,3 M€ dans la restructuration des outils de sa filière semence. Avec son projet Opus (Optimisation des processus des usines semences), le groupe répond aux nouvelles attentes de ses clients, notamment en semences bio et traitées à base de biostimulants.
« La restructuration de notre activité semence est partie du constat que nous étions en surcapacité industrielle par rapport aux marchés sur lesquels nous étions positionnés ou ceux sur lesquels nous voulions l’être, explique Thierry Gestain, directeur de l’activité semence d’Arterris. Nous avons, pour cela, revendu notre usine de Vic-Fezensac (Gers). Par ailleurs, nous étions spécialisés dans le maïs, très challengé par les productions d’Europe de l’Est qui dégradent nos marges, et dans le blé dur dont les volumes ont baissé de 50 % en cinq ans, depuis que la France ne subventionne plus les semences certifiées. Il nous fallait surmonter ces difficultés. »
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