«Dans le cadre de notre stratégie filières, nous suivons déjà des indicateurs depuis 2013, notamment l’IFT, le solde azoté, les émissions de gaz à effet de serre, la microbiologie du sol…, note Philippe Michonneau, responsable pôle agronomie, innovation et services de la Scara. Nos clients s’en servent pour communiquer mais cela n’entraîne pas, pour l’instant, d’évolutions majeures des cahiers des charges. » Pour poursuivre ce travail et enrichir le nombre d’indicateurs, la coopérative a lancé une thèse réalisée par Emma Soulé avec l’Inrae de Colmar et l’université de Lorraine, dont la soutenance aura lieu fin 2022. Objectif à moyen terme : obtenir un revenu supplémentaire grâce aux services écosystémiques rendus à la société par les adhérents.
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La Scara évalue les services écosystémiques des exploitations
La coopérative teste une vingtaine d’indicateurs environnementaux dans 33 exploitations pour, à l’avenir, monnayer les services écosystémiques rendus par ses adhérents.
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