La décarbonation constitue un des enjeux dont se sont emparés les fabricants d’aliments français. Ils souhaitent d’ailleurs que leurs actions soient reconnues et intégrées dans les outils de mesure déployés par les productions animales pour répondre à la demande des clients finaux, distributeurs comme consommateurs. Le secteur a exprimé son ambition de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre liées à l’alimentation animale d’ici 2030.

Le tourteau de soja représente 31 % de l’empreinte carbone des fabricants d’aliments pour animaux français, et le blé, 19 % : c’est bien sur toutes les matières premières, importées ou métropolitaines, qu’il faut travailler pour décarboner la nutrition animale.
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