Trop d’offre, et pas assez de demande. Si le constat est simple, les moyens de rééquilibrer la balance le sont moins. Plusieurs phénomènes à l’œuvre devraient y contribuer, sur lesquels les collecteurs tentent d’agir dans la mesure du possible. Côté offre, limiter les volumes passe d’abord par une maîtrise des conversions. À la Cavac, « on n’accompagne plus de nouveaux producteurs en grandes cultures en bio depuis 18 mois », explique Jacques Bourgeais, directeur général. La coopérative vendéenne annonce 25 000 ha de grandes cultures bio, avec une collecte 2023 de près de 80 000 t. Aujourd’hui, la grande question, c’est l’ampleur des déconversions (lire encadré).
Contenu réservé
Rééquilibrer le marché, un défi

Le salut du marché réside dans un rééquilibrage de l’offre et de la demande. Côté offre, des surfaces sont mises en retrait, voire déconverties, et des volumes déclassés. Côté demande, coopératives et négoces misent sur des cultures plus porteuses, en attendant une reprise de la consommation.
1514
Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
7 %
Vous avez lu 7 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)

- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue