Le porc en berne, la volaille qui se cherche pour lutter contre les importations, les bovins sonnés par le coup de semonce de Lactalis qui veut réduire sa collecte en France… Les productions animales françaises et, donc, la nutrition animale ont peu de visibilité, même si certaines perspectives sont encourageantes.

Avec une projection au minimum à 19,5 Mt d’aliments fabriqués en France en 2024 après les maigres 19,1 Mt de 2023, la nutrition animale hexagonale souffle un peu en 2024. Pour François Cholat, le président du Snia, en déplacement chez Huttepain le 17 octobre dernier avec Intercéréales, l’année devrait donc se terminer aux environs de 19,6, voire 19,7 Mt. Certains segments restent en retrait comme les aliments pour porcs, ceux pour les lapins et les aliments pour les segments premium.

La chute du bio enrayée

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