« Le pire, ce serait que des gens n’osent pas en parler et soient dans une situation délicate dans l’entreprise », déclare Florent Dufourcq, DRH du pôle agricole de Maïsadour et pilote du réseau des référents handicap dans le groupe. Ces référents sont douze, dans l’ensemble des branches, depuis fin 2024. Mais l’entreprise a aussi porté sa réflexion sur les risques psychosociaux.
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Chez Maïsadour, la santé mentale « n’est pas un tabou »

Au-delà des référents handicap et des SST, des « secouristes en santé mentale » sont instaurés chez Maïsadour et les managers sont formés aux risques psychosociaux.
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