Fin janvier, lors de l’examen au Sénat de la proposition de loi « Lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur », un amendement, proposé par le gouvernement, avait été adopté pour rétablir « la possibilité pour un distributeur de produits phytopharmaceutiques d’exercer une activité de conseil, en conservant les CEPP et en prévoyant des règles de prévention de conflit d’intérêts ». C’est désormais à l’Assemblée nationale de se prononcer sur le texte, portant donc sur la séparation mais aussi sur des sujets très clivants, comme la tutelle de l’Anses ou le retour des néonicotinoïdes.

À partir du 13 mai, les députés de la commission des affaires économiques se penchent sur la proposition de loi des sénateurs Duplomb et Menonville, visant notamment à aménager la séparation conseil et vente pour les produits phytosanitaires. Plusieurs propositions de garde-fous sont sur la table. Ce 13 mai se tenait aussi un Comité d’orientation et de suivi du plan Ecophyto.
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