Alors que la majorité des coops et des négoces commencent à réaliser leur bilan carbone, le fret ferroviaire décroche. « L’État, qui est propriétaire, n’entretient pas ses voies », dénonce Benjamin Top, DG d’Agropithiviers. Son entreprise, qui fonctionnait à 70 % par le train, est contrainte de passer à 100 % par la route, après la fermeture de lignes ferroviaires. Quatre mille camions supplémentaires sur les routes… Pour faire face à ce déclin et plus largement pour optimiser la logistique, un club des chargeurs est en train d’être créé. La filière céréalière s’est rapprochée d’autres secteurs d’activité (granulats, bois…) afin de mutualiser les transports.
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Centre-Val de Loire Mobilisation logistique

À l’heure des bilans carbone, le transport des marchandises est étudié de près. Coopératives et négoces se rassemblent au sein d’un club afin d’optimiser leurs chargements.
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