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Les OS confrontés au déclin du blé dur

De gauche à droite, Antoine Pissier, DG du négoce Pissier, Édouard Prévosteau, responsable opérationnel chez Terris Union, et Aymeric Berton, en charge de la commercialisation du blé dur chez Axéréal, lors de la 26e journée filière blé dur, mardi 6 février, à Orléans (Loiret).
De gauche à droite, Antoine Pissier, DG du négoce Pissier, Édouard Prévosteau, responsable opérationnel chez Terris Union, et Aymeric Berton, en charge de la commercialisation du blé dur chez Axéréal, lors de la 26e journée filière blé dur, mardi 6 février, à Orléans (Loiret). © M. HILARY

À l’occasion de la journée technique Blé dur organisée par Arvalis, mardi 6 février à Orléans (Loiret), des professionnels de la collecte ont partagé leurs visions pour relancer la filière alors que la production 2024 pourrait passer sous la barre du million de tonnes.

« La surface française de blé dur semée est en baisse de 30 % depuis sept ans », a présenté Yannick Carel, chargé d’études économiques chez Arvalis, lors de la 26e journée de la filière à Orléans (Loiret). Elle a atteint son niveau le plus bas en 2023 avec 236 000 ha pour 1,2 Mt produites. L’exportation vers les pays tiers a été divisée par 10 en dix ans et avoisine les 120 000 t/an, le marché intérieur (environ 630 000 t/an, 40 % des débouchés) et celui vers l’UE (53 %) restant stables.

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