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Les semenciers veulent continuer à investir dans la recherche

Olivier Paul, président de l'UFS, Rachel Blumel, directrice générale, et Rémi Bastien, vice-président, mercredi 13 novembre, à Paris.
Olivier Paul, président de l'UFS, Rachel Blumel, directrice générale, et Rémi Bastien, vice-président, mercredi 13 novembre, à Paris. © Isabelle Escoffier

Lors de sa conférence annuelle, mercredi 13 novembre, l’UFS a pointé différents sujets sur lesquels elle reste vigilante : le crédit impôt recherche, les semences traitées et les NGT.

L’Union française des semenciers (UFS) a présenté ses priorités pour 2025 lors d’une conférence de presse, mercredi 13 novembre, à Paris. Elle appelle notamment au maintien de l’innovation variétale via le crédit impôt recherche (CIR). Ce dernier est à nouveau discuté dans le cadre du projet de loi de finances 2025. « C’est une véritable épée de Damoclès, difficile à gérer pour nos organisations qui investissent sur un temps long », insiste Rémi Bastien, vice-président de l’UFS. Le CIR ne représente pas moins de 100 M€ pour le secteur semencier sur les 400 à 450 M€ investis dans la recherche (11 % du chiffre d’affaires total).

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