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Pourquoi il faut se méfier (sans en faire trop non plus) du bio de la mer Noire

Après s’être imposées dans les céréales, Ukraine et Russie ont le bio dans le viseur. Même s’ils ne vont pas de suite inonder de leurs marchandises l’Europe, y compris la France, les Slaves, qui partent de loin, sont à la manœuvre.

1Un développement rapide

Le marché bio russe ? « Il est encore modeste mais connaît une croissance rapide », pointe-t-on à l’Agence bio qui l’a chiffré à 185 M$ en 2015, quand celui de l’UE atteignait… 35 Mds$. Si les derniers chiffres officiels ukrainiens ou russes remontent à 2015 (voir ci-dessus), il faudrait déjà presque multiplier par deux les surfaces, selon toute évidence. Tout en sachant qu’il y a bio et bio.

2Une réserve de foncier

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