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UFS : « Faire la distinction entre ce qui est OGM et ce qui ne l’est pas »

L’UFS, l’Union française des semenciers, suggère que seules soient soumises à la réglementation OGM les variétés qui contiennent dans leur génome de l’ADN étranger. © B. CAILLIEZ
L’UFS, l’Union française des semenciers, suggère que seules soient soumises à la réglementation OGM les variétés qui contiennent dans leur génome de l’ADN étranger. © B. CAILLIEZ

Blocage sur le plan réglementaire, insécurité juridique, distorsion de concurrence… Le flou qui encadre les nouvelles méthodes de sélection des plantes depuis des années a poussé l’UFS à demander une réouverture de la réglementation européenne sur les OGM.

Aujourd’hui, les sélectionneurs français craignent d’utiliser les méthodes de sélection les plus récentes comme la « mutagénèse dirigée », par peur de voir leur nouvelle variété être classée OGM. La façon d’interpréter les textes crée une insécurité juridique pour les semenciers. Les colzas résistants aux herbicides obtenus par mutagénèse aléatoire et culture in vitro, actuellement autorisés, pourraient à l’avenir être considérés comme OGM.

La classification OGM, des coûts rédhibitoires

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