Oui, la filière semences peut aider les agriculteurs à relever le défi de la « troisième révolution agricole », à condition d’obtenir le soutien des pouvoirs publics. C’est ce que l’UFS a demandé, le 4 novembre au cours de son assemblée générale, aux candidats à l’élection présidentielle de 2022.
« Alors que la demande alimentaire mondiale est en hausse, une étude conduite par le cabinet allemand HFFA Research en mai 2021 montre que la stratégie Farm to Fork va provoquer une baisse en moyenne de 20,6 % d’ici à 2030 dans les pays de l’Union européenne, a expliqué Claude Tabel, président de l’UFS (Union française des semenciers), le 3 novembre en conférence de presse, à la veille de son AG. L’Union européenne deviendrait alors importatrice nette de blé, maïs, pommes de terre, sucre, graines oléagineuses… et serait responsable de l’émission de 4 milliards de tonnes supplémentaires de gaz à effet de serre ! »
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