La supply chain n’est pas qu’une affaire de logistique physique, il y est aussi question de traçabilité. Et il existe aujourd’hui une demande significative de la part des consommateurs (et des metteurs en marchés) pour plus de transparence et de visibilité des méthodes de production et de transformation. La traçabilité, au sens réglementaire (paquet hygiène), existe d’ores et déjà et fonctionne. Son objectif est de pouvoir identifier un produit (ou un lot) et le retirer très rapidement et avec un maximum de sécurité en cas de non-conformité ou de danger. Le hic, c’est qu’elle fonctionne « en silo ». « C’est super d’avoir des preuves, mais si ça ne va pas jusqu’aux consommateurs, ça ne sert à rien, lâche Xavier Wagner, DG d’Applifarm, plateforme d’échange, de valorisation et de traçabilité des données d’élevage. Il faut normaliser des évènements de traçabilité à chaque étape de la vie du produit, depuis la ferme jusqu’au consommateur. »
Contenu réservé
Le digital au service de la traçabilité

Dans un environnement toujours plus demandeur de traçabilité, la filière a une carte à jouer via les innovations numériques. Saura-t-elle aller jusqu’à la blockchain ?
1325
Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
11 %
Vous avez lu 11 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)

- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue