Boucler le cycle des minéraux. Ceci pour sortir d’une économie linéaire des fertilisants et aboutir à une économie circulaire respectueuse des ressources. Telle est la grande promesse du développement de la fertilisation organique en plus d’œuvrer pour la transition des pratiques vers l’agroécologie. Les engrais organiques font en effet globalement bien plus que de nourrir une plante. Ils nourrissent le sol, améliorant ainsi sa structure et sa biologie et séquestrant du carbone. Cet intérêt n’est cependant toujours pas suffisant, semble-t-il, pour soutenir la demande en termes de volumes face aux turbulences du marché.
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Les organiques dans un entredeux
Les engrais et amendements issus de la valorisation de matières fertilisantes d’origine résiduaire sont présentés comme l’une des clés de la transition des pratiques agricoles. Il reste cependant du chemin à parcourir pour que ces matières prennent leur juste place.
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