Les fabricants d’engrais organiques ont modifié leurs pratiques pour pouvoir faire face à la spirale inflationniste.
Les fabricants d’engrais organiques ont modifié leurs pratiques pour pouvoir faire face à la spirale inflationniste. ©R. FOURREAUX

Les engrais et amendements issus de la valorisation de matières fertilisantes d’origine résiduaire sont présentés comme l’une des clés de la transition des pratiques agricoles. Il reste cependant du chemin à parcourir pour que ces matières prennent leur juste place.

Boucler le cycle des minéraux. Ceci pour sortir d’une économie linéaire des fertilisants et aboutir à une économie circulaire respectueuse des ressources. Telle est la grande promesse du développement de la fertilisation organique en plus d’œuvrer pour la transition des pratiques vers l’agroécologie. Les engrais organiques font en effet globalement bien plus que de nourrir une plante. Ils nourrissent le sol, améliorant ainsi sa structure et sa biologie et séquestrant du carbone. Cet intérêt n’est cependant toujours pas suffisant, semble-t-il, pour soutenir la demande en termes de volumes face aux turbulences du marché.

Baisse des volumes de 25 %

1309

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
7 %

Vous avez lu 7 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre