On a l’habitude de scinder le marché du maïs en France en deux segments, le grain et le fourrage, qui occupent ces dernières années à peu près la moitié chacun (1,5 Mha) des surfaces cultivées de maïs. Mais on peut y ajouter un troisième créneau, celui des semences, tant la production en maïs peut être considérée pour son importance économique comme un débouché à part entière. On peut même ajouter un quatrième débouché, celui du maïs doux avec 23 150 ha en 2018, même s’il est plutôt considéré comme une culture légumière, et non une grande culture.
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Maïs Une espèce, trois marchés

Grain, fourrage et semences, le maïs français n’a pas deux débouchés mais trois. Les semences en constituent un à part entière, 60 % de leur production est exportée.
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