Face à la multiplication des débouchés, à l’évolution des contraintes sanitaires ainsi qu’à l’augmentation des charges, les infrastructures de stockage des grains ne sont plus adaptées à la réalité de la collecte actuelle. Moderniser ces installations, stratégiques pour garantir la sécurité et la qualité des denrées agricoles, est devenu un enjeu national. C’est ainsi que le plan Infrastructures 2030 a vu le jour en juillet 2023. Piloté par La Coopération agricole Métiers du grain, il associe le négoce (NégoA), et aussi les pouvoirs publics, interprofessions (Intercéréales, Terres Univia), instituts (Terres Inovia, Arvalis), bureaux d’études, et établissements bancaires. La concertation de ces acteurs a abouti à un consensus autour de six axes stratégiques : la souveraineté alimentaire, la transition écologique, la rentabilité, la logistique, la qualité des grains ainsi que la fiabilité des infrastructures.
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Les infrastructures, un maillon stratégique

Le plan national Infrastructures 2030 vise à moderniser les installations de stockage des grains dans un objectif de regain de compétitivité pour les organismes stockeurs.
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