Après une récolte 2024 catastrophique, la moisson 2025 apporte un peu de répit. Les rendements et les qualités sont au rendez-vous, malgré une protéine un peu faible par endroits en blés et orges. Principale ombre au tableau : un prix des céréales largement inférieur à leur coût de production.
La singularité de cette moisson 2025 ? Sa précocité. « En vingt ans, je n’avais encore jamais vu une récolte finie au 15 juillet chez nous », témoigne Aline Saget, directrice juridique, RH et communication chez Bourgogne du Sud. La vague de chaleur qui s’est abattue sur la France du 19 juin au 4 juillet a délivré un coup de fouet à la récolte, donnant du fil à retordre aux coopératives et négoces en termes de logistique.
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