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Retard à l’allumage pour le « carbon farming »

Faire de l’agriculture un pilier de la transition de nos économies est une démarche prometteuse, mais qui doit encore surmonter plusieurs obstacles.

Utiliser l’agriculture comme un levier de réalisation des objectifs de réduction des émissions de gaz à effets de serre et ainsi atténuer l’impact climatique du secteur qui est le troisième émetteur. C’est la grande promesse du « carbon farming », qui consiste à monétiser le stockage de carbone dans les sols agricoles par des crédits. Cette démarche se concrétise aujourd’hui en termes de volonté politique. L’Union européenne s’est fixé un objectif d’absorption nette de 310 Mt équivalent CO2 dans les puits de carbone naturels d’ici 2030. En France, le gouvernement s’est doté du dispositif « Label bas carbone » afin de pouvoir piloter des projets en générant des crédits carbone. Différentes méthodes agricoles ont été labellisées dans ce cadre ces dernières années. Les agriculteurs français seraient ainsi déjà 10 % à être intégrés d’une manière ou d’une autre dans ces démarches, selon notre enquête Agrodistribution-ADquation (voir ci-contre).

Pas de fausses promesses

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