« Si demain une entreprise n’est pas engagée dans une démarche RSE, elle pourrait avoir des soucis de financement », avance Régis Mérand, président du cabinet Positif Impact. Aujourd’hui, le respect de critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) permet de bénéficier de prêts bonifiés ; demain, l’accès même à du financement pourrait être encore endurci. À cela s’ajoutent la pression de l’aval et d’une réglementation comme la directive européenne CSRD et son rapport de durabilité succédant à la DPEF (1) (lire ci-dessous). Mais au-delà de ces facteurs « contraignants », la responsabilité sociétale des entreprises est censée être une démarche fédératrice et de progrès, et des entreprises l’adoptent dans une dynamique volontaire, à l’image de la coopérative Valfrance (lire ci-contre). Elle peut exprimer au mieux toute sa vertu en l’inscrivant au cœur de la stratégie, qui est d’ailleurs « un des objectifs de la CSRD », comme le précise Quentin Pauchard, responsable RSE de La Coopération agricole.

Comment diffuser l’esprit et les actions de la RSE dans un projet d’entreprise ? Voici les étapes clés d’une telle démarche, décryptées par Régis Mérand, du cabinet spécialisé Positif Impact, et complétées par des témoignages du terrain.
1461
Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
11 %
Vous avez lu 11 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)

- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue