Quinze mille tonnes de blé « agroécologique » en 2025. Soit 10 % de ses besoins en blé tendre. D’ici à dix ans, le groupe Brioche Pasquier, numéro un de la viennoiserie en France et acteur majeur sur la panification sèche, compte bien couvrir un volume significatif de ses approvisionnements en blé issu d’exploitations respectant un certain niveau d’indice de régénération (IR), indicateur conçu et développé par l’association Pour une agriculture du vivant. Sa première filière blé « agroécologique » a été lancée en 2019 en partenariat avec le groupe Soufflet ; une seconde a démarré en 2023 dans le cadre d’un accord tripartite avec la Minoterie Girardeau (Loire-Atlantique) et le négoce Pohu (Maine-et-Loire), et fait l’objet d’une première collecte de 1 000 t cette année (lire encadré). Et d’autres matières premières ont suivi, telles les pommes pour des tartes surgelées, avec le groupe Pom’évasion, ou avec la culture de betteraves sucrières. Et de nouvelles filières agroécologiques sont également envisagées, notamment pour les huiles de colza et de tournesol.
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Brioche Pasquier déploie des filières agroécologiques

Après avoir consolidé son engagement dans la « naturalité » il y a neuf ans, le groupe Brioche Pasquier amène progressivement ses matières premières agricoles sur le chemin d’une agriculture respectueuse du vivant.
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