C’est ce qu’on appelle voir double… Ou mettre les bouchées doubles ! À une semaine d’intervalle, fin mars et début avril, deux importants projets de fusion de coopératives ont été annoncés dans le Sud-Ouest. Primo, entre la landaise Maïsadour et sa voisine béarnaise Euralis. Secundo, entre Terres du Sud, dont le siège est dans le Lot-et-Garonne, et Vivadour, dans le Gers. Dans les deux cas, par voie de communiqué, les structures expliquent leur volonté de s’unir par « la promotion et la valorisation de filières ancrées dans leurs territoires » (pour les premières), l’objectif de « renforcer des services dédiés aux agriculteurs en conservant la proximité » et d' « améliorer la résilience d’un groupe unifié » (pour les secondes).

Deux importants projets de fusion de coopératives se profilent dans le Sud-Ouest. Euralis et Maïsadour d’un côté, Vivadour et Terres du Sud de l’autre, envisagent coup sur coup de se marier pour « mieux soutenir et promouvoir les filières agricoles régionales ». Des opérations qui devront toutefois franchir plusieurs obstacles avant d’aboutir.
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